JEUNES : Une allocation d’autonomie au SMIC !
Par Sylvain
Les deux ans qui viennent de s’écouler nous ont montré que la question de la jeunesse est au centre du débat politique. Ça a commencé en 2005 avec des milliers de lycéens dans les rues contre la casse de l’éducation. Puis ce sont les jeunes des quartiers populaires qui ont relevé la tête, étouffés par la misère sociale et les discriminations. Enfin, au printemps dernier, l’ensemble de la jeunesse s’est dressée contre le CPE et la loi sur « l’égalité des chances ». Ces révoltes viennent de la dégradation de nos conditions de vie, d’études et de travail. Nous sommes la première génération qui vivra moins bien que celle de ses parents.
L’autonomie tout de suite !
Pour faire des études aujourd’hui, on a le choix entre travailler pour subvenir à ses besoins (plus de 50 % des étudiants travaillent) ou bien être dépendant de ses parents. Dans le premier cas, c’est la précarité au travail et la galère dans les études. Dans le second cas, il est impossible pour beaucoup de jeunes de s’épanouir librement dans le choix de leurs études, de leur mode de vie, de leur sexualité… Pour cela, nous exigeons une allocation d’autonomie à hauteur du SMIC et financée sur les cotisations sociales pour tous les jeunes de 18 à 25 ans !
Sois jeune et tais-toi…
À chaque fois que les jeunes s’organisent collectivement pour résister, la seule réponse qu’ils obtiennent c’est la brutalité et le mépris. Depuis 2005, ce sont plusieurs milliers de jeunes qui sont passés par la garde à vue, les tribunaux et la prison pour avoir refusé de courber l’échine ! Nous devons exiger l’amnistie pour tous les inculpés des mouvements de la jeunesse de ces dernières années. Il faut en finir avec la criminalisation de la jeunesse et les provocations policières, notamment dans les quartiers populaires ou le racisme de l’État policier se cumule à la désespérance sociale!
Dans cette situation, nous ne pouvons plus nous contenter de promesses sans lendemain. Nous devons changer radicalement de société pour en finir avec la dégradation de nos conditions d’études, le travail précaire, les discriminations et la répression. Nous voulons une société ou chaque jeune puisse s’épanouir et construire sa vie sans être formaté à être une main-d’œuvre corvéable et malléable à merci. C’est le sens de la campagne d’Olivier Besancenot. Une campagne anticapitaliste qui soit le relais des aspirations de la nouvelle génération qui lutte !
Les deux ans qui viennent de s’écouler nous ont montré que la question de la jeunesse est au centre du débat politique. Ça a commencé en 2005 avec des milliers de lycéens dans les rues contre la casse de l’éducation. Puis ce sont les jeunes des quartiers populaires qui ont relevé la tête, étouffés par la misère sociale et les discriminations. Enfin, au printemps dernier, l’ensemble de la jeunesse s’est dressée contre le CPE et la loi sur « l’égalité des chances ». Ces révoltes viennent de la dégradation de nos conditions de vie, d’études et de travail. Nous sommes la première génération qui vivra moins bien que celle de ses parents.
L’autonomie tout de suite !
Pour faire des études aujourd’hui, on a le choix entre travailler pour subvenir à ses besoins (plus de 50 % des étudiants travaillent) ou bien être dépendant de ses parents. Dans le premier cas, c’est la précarité au travail et la galère dans les études. Dans le second cas, il est impossible pour beaucoup de jeunes de s’épanouir librement dans le choix de leurs études, de leur mode de vie, de leur sexualité… Pour cela, nous exigeons une allocation d’autonomie à hauteur du SMIC et financée sur les cotisations sociales pour tous les jeunes de 18 à 25 ans !
Sois jeune et tais-toi…
À chaque fois que les jeunes s’organisent collectivement pour résister, la seule réponse qu’ils obtiennent c’est la brutalité et le mépris. Depuis 2005, ce sont plusieurs milliers de jeunes qui sont passés par la garde à vue, les tribunaux et la prison pour avoir refusé de courber l’échine ! Nous devons exiger l’amnistie pour tous les inculpés des mouvements de la jeunesse de ces dernières années. Il faut en finir avec la criminalisation de la jeunesse et les provocations policières, notamment dans les quartiers populaires ou le racisme de l’État policier se cumule à la désespérance sociale!
Dans cette situation, nous ne pouvons plus nous contenter de promesses sans lendemain. Nous devons changer radicalement de société pour en finir avec la dégradation de nos conditions d’études, le travail précaire, les discriminations et la répression. Nous voulons une société ou chaque jeune puisse s’épanouir et construire sa vie sans être formaté à être une main-d’œuvre corvéable et malléable à merci. C’est le sens de la campagne d’Olivier Besancenot. Une campagne anticapitaliste qui soit le relais des aspirations de la nouvelle génération qui lutte !
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