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Répression anti-syndicale à SUPER U Colomiers.Vive la Solidarité et la mobilisation!

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L'appel ( TRES URGENT!!! Non à la répression syndicale à SUPER U Colomiers !) a la solidarité avec notre camarade délégué CGT lancé par le syndicat CGT Super U Colomiers et l'Union Locale CGT Mirail-Portet sur ce blog connait une énorme réponse de soutien.Maintenant il faut montrer cette solidarité concretement.

Tous ensemble devant Super U à Colomiers demain mercredi à partir de 8h30!

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Colomiers 100% à gauche...

Laurent Marty a déposé sa liste «100% à gauche» Sauf imprévu de dernière
minute, il y aura bien cinq listes en concurrence aux prochaines municipales
sur la ville de Colomiers : « Ensemble pour l'avenir de Colomiers » de
Bernard Sicard ; « Réveiller Colomiers Ensemble » (UMP) de Damien Laborde ;
« Colomiers en mouvement » (MoDem) de Rudi Sordes ; « Lutte Ouvrière » (LO)
de Michèle Puel ; et enfin « 100 % à gauche » (LCR) de Laurent Marty.

Sauf imprévu de dernière minute, il y aura bien cinq listes en concurrence
aux prochaines municipales sur la ville de Colomiers : « Ensemble pour
l'avenir de Colomiers » de Bernard Sicard ; « Réveiller Colomiers Ensemble »
(UMP) de Damien Laborde ; « Colomiers en mouvement » (MoDem) de Rudi Sordes
; « Lutte Ouvrière » (LO) de Michèle Puel ; et enfin « 100 % à gauche »
(LCR) de Laurent Marty.
Ce dernier a déposé sa liste lundi après-midi en préfecture, une liste qui
comprend 5 cartés LCR, des syndicalistes et membres divers de la société
civile dont beaucoup étant sans emploi.
Le programme est bâti en sept points : logement : l'état d'urgence ;
transport : non à l'asphyxie ; défense et développement des services publics
; pour une ville sans discrimination ; sport et culture ; démocratie et une
fiscalité plus juste.
Il n'y aura pas de réunions publiques à Colomiers mais un déplacement
collectif à Toulouse pour la venue d'Olivier Besancenot le lundi 3 mars.



La liste 100% à gauche
1. Laurent Marty, 37 ans, ouvrier manutentionnaire ; 2. Nadia Markovic, 38
ans, enseignante ; 3. Michel Naudy, 63 ans, retraité ; 4. Christine
Cernaïts, 48 ans, secrétaire médicale ; 5. Stéphane Massoutier, 33 ans,
étudiant ; 6. Béatrice Lattes, 59 ans, sans profession ; 7. Jean-Pierre
Torchy,48 ans, ouvrier ; 8. Emma Roussel, 22ans, employée ; 9. Rachid
Loudouna, 31 ans, sans emploi ; 10. Marina Sebban, 18 ans, étudiante ; 11.
Sébastien Vilella,26 ans, ouvrier ; 12. Patricia Huillet, 38 ans, sans
profession ; 13. Marc Vidal, 49 ans, ouvrier ; 14. Nadine Chailan, 59 ans,
employée ; 15. Ali Kemerchou,54 ans, chômeur ; 16. Patricia Sylvain, 42 ans,
sans profession ; 17. Patrick Brisset, 40 ans, ouvrier aéronautique ; 18.
Marie-France Baptiste, 60 ans, sans profession ; 19. Jean Chailan, 51 ans,
ouvrier ; 20. Fabienne Vidal, 36 ans, ouvrière, 21. Franck Haussener, 47
ans, technicien ; 22. Nicole Massip, 53 ans, assistante sociale ; 23. Jose
Barbosa, 39 ans, ouvrier ; 24. Anastasia Villemur, 18 ans, mère au foyer ;
25. Thomas Sommer-Houdeville, 32 ans, sans profession ; 26. Céline Meyer, 30
ans, mère au foyer ; 27. Julien Fustier, 25 ans, sans emploi ; 28. Gaëlle
Aubert, 26 ans, aide à domicile ; 29. Pierre Lago, 49 ans, chauffeur routier
; 30. Mauricette Subra, 72 ans, retraitée ; 31. Christophe Allochon, 30 ans,
employé de commerce ; 32. Karolie Brière, 37 ans, agent hospitalier ; 33.
Bernard Ribis, 51 ans, musicien intermittent ; 34. Jacqueline Nadaud, 62
ans, employée ; 35. Salah Baziz, 37 ans, cariste magasinier ; 36. Laetitia
Dubuisson, 25 ans, boulangère ; 37. Antoine Sommer-Houdeville, 26 ans,
chômeur ; 38.Nicole Gorget, 51 ans, sans profession ; 39. Patrick Moreno, 34
ans, demandeur d'emploi.
Publié le 21 février 2008 à 11h44 | Auteur : J-M L

Eloge de la politique profane

Entretien avec Daniel Bensaïd autour de son dernier ouvrage.

L’espace public rétrécit à vue d’œil sous la poussée des appétits privés. La citoyenneté dépérit sous le règne anonyme des marchés financiers. Le droit international est mis à mal par la logique de la guerre globale, sans limites ni frontières. Les peuples se décomposent en meutes, les classes en masses. Les partis capitulent devant le despotisme des sondages et le tribunal des experts.
Quand la politique s’efface ainsi devant les décrets d’une économie automate, la cote des idoles et des dieux est à la hausse : le sacré revient en force.

Comment penser l’avenir d’une politique profane en ces temps obscurs ?

Télécharger l'émission


POUR UNE LOI –CADRE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

PÉTITION

POUR UNE LOI –CADRE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

France, 2008.
Une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint. Tout le monde se désole. Mais disposons-nous vraiment de toutes les mesures nécessaires pour combattre les violences faites aux femmes ?

Toutes les violences faites aux femmes. Pourquoi la loi ne prend-elle pas en compte la prévention des violences faites aux femmes et laisse chacun-e se débrouiller dans son coin ?

Pourquoi les violences psychologiques sont-elles reconnues au travail sous le nom de harcèlement moral et non pas dans le couple ?

Pourquoi la solidarité nationale ne se décline-t-elle pas financièrement auprès des victimes les plus démunies ?

Pourquoi une femme qui se sent menacée ne peut-elle bénéficier d’une protection urgente ?

Pourquoi sont-elles si peu à porter plainte ( 8% des femmes de 20 à 59 ans victimes de viol*) ?

Il est temps que la France adopte un ensemble de mesures intégrées et globales pour combattre ce fléau social, comme l’ont fait l’Espagne et la Suède.

Le Collectif national pour les droits des Femmes, soutenu par d’autres associations féministes, a rédigé une proposition de loi-cadre pour combattre ces violences, qui a été déposée sur le bureau de l’Assemblée par le Groupe de la gauche démocratique et républicaine.

Je signe pour que la discussion de cette proposition de loi soit inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Souscription 2007 / 150000 €
récoltés 94000 €/ manquent 56000 €

Non, la LCR ne sort pas ruinée de l’élection présidentielle : nous avons construit notre budget de campagne de manière à ce qu’il soit couvert, pour l’essentiel, par le forfait de 800000euros accordé par l’État à chaque candidat. D’autres partis ont été moins prudents… Renforcée, non seulement par le nombre de voix qui se sont portées sur Olivier Besancenot, mais aussi par l’écho de la campagne, pour la première fois, la LCR a présenté ou soutenu plus de 500 candidatures aux élections législatives, beaucoup plus que ce que nous avions prévu et budgétisé. Et là, pas de remboursement de l’État.

Mais les activités de la LCR ne s’arrêtent pas à cela :
– Nous voulons que de nombreux jeunes, chômeurs, salarié-e-s précaires puissent participer à notre Université d’été, au-delà des contraintes financières.

– Nous voulons pouvoir être présents, dès maintenant, avec des affiches, des tracts contre la politique de Sarkozy et sa bande de tueurs des droits sociaux et démocratiques.

– Nous voulons que notre hebdomadaire, Rouge, puisse vivre.
Nous savons que vous comptez sur la LCR pour les luttes futures. La LCR compte sur vous pour l’aider à les mener. En 2006, comme en 2005, nous avons réussi la souscription et dépassé les 150000 euros. En 2007,nous ne doutons pas que nous ferons aussi bien.

D’avance, merci à toutes et tous

Participez à la souscription en envoyant vos chèques pour "lcr souscription" à lcr31 9, rue corneille 31300 Toulouse