Franchises NON !
DECLARATION DE MYRIAM MARTIN
PORTE PAROLE DE LA FEDERATION LCR-100% A GAUCHE DE LA HAUTE-GARONNE
MOBILISONS PARTOUT LE 29 SEPTEMBRE, ET DANS LA RUE !
Rassemblement à Toulouse samedi 29 septembre 10 h place du Capitole
DECLARATION DE MYRIAM MARTIN
PORTE PAROLE DE LA FEDERATION LCR-100% A GAUCHE DE LA HAUTE-GARONNE
La Fédération nationale des accidentés de la vie (accidents du travail, handicaps), la Fnath, a réagi vivement lorsque la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, s’est exclamée, à propos des franchises : « Qui ne peut pas payer quatre euros par mois ? » La fédération fait partie du Collectif interassociatif sur la santé (Ciss), qui fédère 25 associations de malades (diabétiques, myopathes, séropositifs, etc.), qui dénoncent la rupture de solidarité du projet Sarkozy. Ces prises de positions sont décisives pour démonter la propagande du pouvoir. Lire la suite...
Contrairement à ce que dit Nicolas Sarkozy, ce n’est pas un « mini-traité ». Sous un autre nom et une autre forme, il reprend l’essentiel de la « constitution » rejetée.
Contrairement à ce que dit Nicolas Sarkozy, « le respect de l’économie ouverte de marché où la concurrence est libre » restera la pierre angulaire de la construction européenne à laquelle tout est subordonné. Aucune des principales exigences soulevées dans le débat sur le traité constitutionnel n’est prise en compte : services publics, égalité hommes-femmes, laïcité, préservation de l’environnement et des ressources non renouvelables, Europe sociale, refus de la libre circulation des capitaux et du dumping fiscal, surpuissance et missions de la banque centrale européenne (BCE), politique de paix, fonctionnement démocratique de l’Union européenne. Rien.
Les services publics restent soumis aux règles de la concurrence. La référence aux « héritages religieux » est maintenue. Aucun des obstacles à l’amélioration des règles sociales n’est levé. Les politiques environnementales sont stérilisées par les choix économiques ultra-libéraux. Le pouvoir de la BCE est préservé. L’inscription de la défense européenne dans la politique de l’OTAN, c’est à dire sa soumission aux États-Unis, et la militarisation de l’Europe sont confortées. La charte des « droits fondamentaux », déjà très insuffisante, reste vidée de toute portée pratique. Et, comme prévu par le traité constitutionnel, le système institutionnel actuel, profondément anti-démocratique, n’est pas vraiment transformé. Bref, on retrouve tout ce qui fait de l’Europe une zone aménagée de libre échange et de promotion des politiques néo-libérales, au lieu qu’elle se construise démocratiquement et propose une autre voie que le règne sans partage des multinationales et des marchés financiers.
Nous sommes des partisans déterminés d’une Europe émancipée de cette tutelle des puissances financières, capable de refuser les politiques de domination agressive et les interventions militaires pour mettre en œuvre de nouvelles relations internationales, notamment avec les pays du Sud. Nous voulons une Europe fondée sur le refus de toutes les discriminations, le respect effectif de la diversité culturelle et la convergence par le haut des droits sociaux, des normes environnementales et des protections des consommateurs. Nous voulons une Europe bâtie sur la volonté et la souveraineté populaire. Voilà pourquoi nous refusons ce nouveau traité. Et nous proposons une démarche : l’élaboration d’un nouveau texte fondateur à la suite d’un processus démocratique, populaire et transparent ; puis sa ratification par référendum dans tous les États.
Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent cette Europe là à se mobiliser, à faire converger leurs initiatives et à unir les forces pour expliquer le véritable contenu du nouveau traité, dénoncer la tromperie et pour ouvrir une nouvelle perspective d’une Europe démocratique, sociale, écologique et solidaire.
Pour éviter que le peuple tranche, Sarkozy veut faire adopter le nouveau traité par la voie parlementaire. Rien ne dit qu’il pourra le faire. Les citoyens et les élus, quel qu’ait été leur vote le 29 mai 2005, doivent refuser que la démocratie et la volonté populaire soient bafouées et exiger un nouveau référendum.
Le 16 octobre 2007.
Premiers signataires :
AC ! - AlterEkolo - Alternatifs - ATTAC - Cactus La Gauche - Confédération Paysanne - Coordination des Groupes de Femmes Egalité - Coordination nationale des collectifs antilibéraux - Démocratie & Socialisme - Fondation Copernic - Forces Militantes - LCR - Marches européennes - MARS Gauche Républicaine - PCF - PCOF - Pour la République Sociale - Réseau Féministe Ruptures - Union des Familles Laïques - Union syndicale Solidaires ...
Contrairement à ce que dit Nicolas Sarkozy, ce n’est pas un « mini-traité ». Sous un autre nom et une autre forme, il reprend l’essentiel de la « constitution » rejetée.
Contrairement à ce que dit Nicolas Sarkozy, « le respect de l’économie ouverte de marché où la concurrence est libre » restera la pierre angulaire de la construction européenne à laquelle tout est subordonné. Aucune des principales exigences soulevées dans le débat sur le traité constitutionnel n’est prise en compte : services publics, égalité hommes-femmes, laïcité, préservation de l’environnement et des ressources non renouvelables, Europe sociale, refus de la libre circulation des capitaux et du dumping fiscal, surpuissance et missions de la banque centrale européenne (BCE), politique de paix, fonctionnement démocratique de l’Union européenne. Rien.
Les services publics restent soumis aux règles de la concurrence. La référence aux « héritages religieux » est maintenue. Aucun des obstacles à l’amélioration des règles sociales n’est levé. Les politiques environnementales sont stérilisées par les choix économiques ultra-libéraux. Le pouvoir de la BCE est préservé. L’inscription de la défense européenne dans la politique de l’OTAN, c’est à dire sa soumission aux États-Unis, et la militarisation de l’Europe sont confortées. La charte des « droits fondamentaux », déjà très insuffisante, reste vidée de toute portée pratique. Et, comme prévu par le traité constitutionnel, le système institutionnel actuel, profondément anti-démocratique, n’est pas vraiment transformé. Bref, on retrouve tout ce qui fait de l’Europe une zone aménagée de libre échange et de promotion des politiques néo-libérales, au lieu qu’elle se construise démocratiquement et propose une autre voie que le règne sans partage des multinationales et des marchés financiers.
Nous sommes des partisans déterminés d’une Europe émancipée de cette tutelle des puissances financières, capable de refuser les politiques de domination agressive et les interventions militaires pour mettre en œuvre de nouvelles relations internationales, notamment avec les pays du Sud. Nous voulons une Europe fondée sur le refus de toutes les discriminations, le respect effectif de la diversité culturelle et la convergence par le haut des droits sociaux, des normes environnementales et des protections des consommateurs. Nous voulons une Europe bâtie sur la volonté et la souveraineté populaire. Voilà pourquoi nous refusons ce nouveau traité. Et nous proposons une démarche : l’élaboration d’un nouveau texte fondateur à la suite d’un processus démocratique, populaire et transparent ; puis sa ratification par référendum dans tous les États.
Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent cette Europe là à se mobiliser, à faire converger leurs initiatives et à unir les forces pour expliquer le véritable contenu du nouveau traité, dénoncer la tromperie et pour ouvrir une nouvelle perspective d’une Europe démocratique, sociale, écologique et solidaire.
Pour éviter que le peuple tranche, Sarkozy veut faire adopter le nouveau traité par la voie parlementaire. Rien ne dit qu’il pourra le faire. Les citoyens et les élus, quel qu’ait été leur vote le 29 mai 2005, doivent refuser que la démocratie et la volonté populaire soient bafouées et exiger un nouveau référendum.
Le 16 octobre 2007.
Premiers signataires :
AC ! - AlterEkolo - Alternatifs - ATTAC - Cactus La Gauche - Confédération Paysanne - Coordination des Groupes de Femmes Egalité - Coordination nationale des collectifs antilibéraux - Démocratie & Socialisme - Fondation Copernic - Forces Militantes - LCR - Marches européennes - MARS Gauche Républicaine - PCF - PCOF - Pour la République Sociale - Réseau Féministe Ruptures - Union des Familles Laïques - Union syndicale Solidaires ...
DECLARATION DE MYRIAM MARTIN
PORTE PAROLE DE LA FEDERATION LCR-100% A GAUCHE DE LA HAUTE-GARONNE
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Communiqué de Presse Association du Personnel des Cabinets Médicaux 31
www.apcr31.abri.org
Deux ans, jour pour jour, après l'audience aux Prud'hommes, l'affaire opposant Julien Terrié et la radiologie de la clinique pasteur passe devant la Cour d'Appel, le Mercredi 5 septembre 2007.
Julien Terrié avait été licencié pour faute grave suite à un mouvement de grève victorieux les 20 et 21 mars 2003.
Le premier jugement au Conseil des prud'hommes avait seulement jugé la requalification du licenciement pour faute grave, en licenciement pour cause réelle et sérieuse et condamné la Radio Pasteur à 1860 euros de dommages et intérêts.
Le jugement n'avait pas satisfait l'avocat de Monsieur Terrié, Maître Sabatté, car il amenait comme seule preuve une phrase extraite du dossier qui avait été attribuée à Julien Terrié alors qu'elle provenait du témoignage d'un de ses collègues avouant une des 4 fautes retenues. Cette erreur avait conduit Julien Terrié à faire appel. La Clinique ayant usé de tous ses retards tolérés par les tribunaux nous ne recevons que maintenant les nouvelles conclusions de leur avocat Maître Matheu.
Celles ci comportent une nouvelle pièce, qui n'a pas manqué pas de nous surprendre : la profession de foi de Julien Terrié, candidat aux législatives pour la LCR d'Olivier Besancenot dans la II° circonscription toulousaine le 10 et 17 Juin dernier !!!
Julien Terrié a effectivement été candidat, mais en quoi ceci étayerait leur thèse des fautes professionnelles ?
Cette nouvelle pièce ne fait que confirmer que Julien Terrié était indésirable au sein du service de radio Pasteur et que son licenciement relève d'une pure répression patronale. Nous espérons que ce licenciement sera enfin reconnu par la cour d'appel comme abusif.
Le Bureau de L'apcr31
Organisations solidaires: CGT Clinique PASTEUR, Syndicats CGT et FO Clinique de l'Union, Fédération CGT Santé Privée, CGT CHU Toulouse, CGT laboratoire Clinique PASTEUR, SUD Santé Sociaux, Union nationale CGT CROUS, CGT Airbus, CGT commerce, UFMICT CGT, UGICT CGT 31, CGT EDF Sud ouest, UL CGT La Timone, UL CGT Rochefort, ACCOR CGT 31, CGT Cheminots Bourges, CGT PTT Besançon, LCR 31, Ligue des Droits de l'Homme .